Patrice Faubert

Une maîtresse algérienne

J'avais mis mon nez
Dans son délicieux sexe
Sans que cela la vexe
Et sans gêne, j'avais reniflé
Les saveurs poivrées de sa fente
Oh ! comme elle me hante
J'avais bu tous ses jus
J'avais humé toutes ses odeurs
J'avais sucé tout ce que je pus
Je m'étais imprégné de ses saveurs
J'avais pris mon pied
Mais, je lui fis honneur
J'avais mangé des oeufs
Au plat, sur son ventre
Et encore mieux
De la confiture dans son antre
Pour m'en repaître à jamais
Comme celui, qui de la chose, sait
J'avais mis mon nez
Dans ses petites affaires
Sans aucune manière
J'avais mis ma bouche rusée
Sur ses exquises trouées
Je l'avais toute bue
Bien avalée toute crue
Puis empalée elle fut
Ce qui calma mon rut
Puis un jour, pour un aspirateur
Qui n'était pas de grande vigueur
Nous nous disputâmes, fort vigoureusement
Et nous nous séparâmes, sans attendrissement
Et je me convainquis que l'harmonie sexuelle
Ne rime pas toujours, avec la concorde idéelle
 
Patrice Faubert (1995) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
 

Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Patrice Faubert.
Publié sur e-Stories.org sur 26.01.2015.

 
 

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