Patrice Faubert

Du quiproquo quantique

Nouveau chant/champ quantique

( Et puis, nos quatre cents coups de jadis, l'on ne peut les renier, et sur lui, j'avais pu compter, et dans son film court " La bouteille ", un rôle y jouer, et aussi avec tant de fêtes impromptues, avec copains et copines, où parfois, le rire faillit nous étouffer !)

Et donc, en vérité
Car pour l'apprendre, il fallut donc, dix-huit années
Qu'ainsi, il ne put être au rendez-vous fixé
Et de pouvoir me prévenir, il n'eut pas la possibilité
De toutes façons, je ne suis aucunement rancunier
Donc, dix-huit ans après, mon téléphone cellulaire
Et par un moyen abracadabrantesque, il put se le procurer
De l'effet papillon local ou global, pouvant tout modifier
Et je ne brasse, pas ici, de l'air
Et puis, faut-il que je le répète, dans une sotte société
Du chafouin de la technicité
Quand donc, tout métier
Est un sot métier
Ne pouvant que consolider cette sotte société
Et nous sommes les esclaves objets
Du système technicien
De la véracité du concept ellulien
Car en puissance
Car en violence
Tout est vain, un va-et-vient
En non-violence
En non-puissance
Le seul véritable chemin
Pour l'humain et le non-humain !

Ancien chant/champ quantique

Ses parents étaient bouchers
Un jour, il m'avait fait déranger
Jusqu'en Ardèche, pour chez lui, le retrouver
Et à mon arrivée, le faux copain, vraiment volatilisé
Ce traitre là, s'appelait Hugues Chateignier
Jamais, il ne m'avait aimé
Et si j'avais perdu un faux copain
Je ne m'étais pas déplacé en vain
Car de l'Ardèche, l'Auvergne n'est pas loin
Et je m'en fus retrouver, un ami sain
Le poète André Zurowski, car la rue, fut notre lien
Un faux copain qui disparaissait
Un vrai copain qui renaissait
Je ne m'étais pas dérangé pour rien
Et puisque, je ne paye pas le train
Vraiment, cela ne m'a pas atteint
Ce faux copain tient un débit de tabac
C'est donc un commerçant, un voleur
L'on revend dix sous
Ce que l'on achète trois sous
Tout commerçant est un voleur
Tout commerçant est un menteur
Mais je ne suis pas rancunier
Et depuis longtemps, cela est pardonné
Merci à toi, ô faux copain
Car avec ce poème paraphysique, tout finit bien
Cela m'a permis d'écrire, sans inventer
Et sans aucun effort, j'ai pu raconter
Oui, rien ne se perd
Oui, rien ne se crée
Oui, tout ne fait que se transformer
Merci encore, mon faux copain, cher Hugues Chateignier

Patrice Faubert (2004) pouète, peuète, puète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur ( http://www.hiway-glk.fr/ )

Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Patrice Faubert.
Publié sur e-Stories.org sur 25.12.2021.

 
 

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