Aveugle des rue de Paris,
homme trahi par les hommes,
toujours cherchant un ami,
toujours caché dans l'ombre.
Tu tends ta main dans les rues,
seul comme un chien perdu...
Si tu savais, figure triste,
tout ce que tu vaux,
tu es la création d'amour
qui mourira un jour.
Tu marches sans t'arrêter,
voyageant sans cesse,
tu n'es jamais fatigué,
tu ne connais pas la faiblesse.
Toi qui chemines toujours,
par les chemins de la vie,
pour toi symbole de l'amour,
j'ai composé cette poésie.
On ne pourra jamais te comparer,
car au fond, tu es ... différent.
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Lourdes Pérez Nëel.
Publié sur e-Stories.org sur 28.05.2010.
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