Elle me disait : « ma main est morte »
Car elle sentait la douleur l’envahir
Moi, c’est son amour qui me porte
Et elle est la femme de mes désirs
Elle me disait : « Je n’ai pas de cœur »
Car se sentant perdue dans la vie
Moi, j’appréciais toute sa douceur
Et c’est d’elle dont j’ai bien envie
Elle me disait : « Je suis méchante »
Car elle se sentait bien toute seule
Moi, je la trouve si bien attachante
Et elle n’avait rien en elle de veule
Elle me disait : « je ne peux aimer »
Car elle a cessé de croire en l’amour
Moi, je la vois tel un champ à semer
Et mes graines pousseront toujours
Sa main, son cœur sont bien vivants
Mais sans être mis dans leur valeur
Les femmes ont des attitudes souvent
Qui les font douter de leurs couleurs
Chourar Said
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Said Chourar.
Publié sur e-Stories.org sur 30.05.2011.
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