On ne pourrait oublier une femme si belle
Une étoile que l’on voudrait dans son ciel
Il me plait d’aimer le cœur de cette gazelle
Son corps est taillé comme un joyau de rêve
Si je pouvais faire que son amour ne s’achève
Avec elle, la vie reste un véritable printemps
Mon vœu est qu’elle soit mienne en tout temps
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Said Chourar.
Publié sur e-Stories.org sur 30.07.2012.
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