Violence qui ne se dit, ne se voit, ne s’entend pas, mais se goutte les
yeux fermés emplis de larmes.
Ironie d’un oubli, qui
nous poursuit, nous pourri.
Complet est le déni, mais de
toutes ses formes je me remplis.
Tremble l’esprit d’en
souffrir, du corps il resurgit
Idées troubles,
Morte, par peur de m’y confronter, au risque d’en mourir.
Mélanger le passé et le présent
Encore il faut
mentir, pour ne pas subir
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Fatima Loudahi.
Publié sur e-Stories.org sur 01.02.2023.
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