Patrice Faubert
Engrammes et niches environnementales
Une journée à peine particulière
Quand je m'entraîne, rien d'arbitraire
Marche sportive, j'écoute Radio Libertaire
Les deux y faisant comme une seule paire
De son conditionnement
Difficile ou impossible, de se soustraire
Ou de le savoir, pour un peu, s'en défaire
Quand le monde et sur la Terre
De tout un fascisme ambiant
Du pain et des jeux, toujours se perpétuant
Des engrammes qui façonnent les gens
Comme de tout engrenage et tout l'étant
Selon sa naissance
Selon sa classe sociale
Selon son sexe
Selon sa région
Selon sa nation
Son temps, sa culture, sa niche environnementale
Et c'est dans tout cela
Que nous nous débattons, voilà
Des sables mouvants scélérats
Toujours vainqueurs, les seuls, à tout moment
Ainsi du féminisme de droite
Continuation de la femme de droite
N'aspirant qu'à devenir ou faire
Ce qu'un homme, en général, peut faire
Et voilà la femme militaire, policière, politicienne
Guerrière, maquerelle, inhumaine !
Le machisme de droite
Lui, est d'une banalité plus étroite
La femme, servante ou putain, la bougie éteinte
Mais tout peut s'adapter
Et toute définition se réinventer
Sportive de haut niveau en toute féminité
Sous-traitance quand tout reste hiérarchisé
A devenant Y
Y devenant A
Mais A restant toujours A
Mais Y restant toujours Y
Le capital y retrouvant son portefeuille
Tout y est son livre et ses feuilles
Comme un chippendale qui s'effeuille
" Nous ne sommes pas au monde "
On nous l'a assez dit, pour paraphraser
Rimbaud via la sublimissime voix de Léo Ferré
Quand la " vraie vie est absente "
D'ailleurs
Nous en avons une peur flippante
D'horribles méchants gosses
Nous serions, sur nos saletés enfin méditantes
Toujours à voir du complot partout
Alors que c'est toute façon de gouverner
Ainsi
9 février 1942, le paquebot Normandie
Fut par un incendie, ravagé
Accident de chalumeau, étincelle propagée
Et non un sabotage, mais, et c'est prouvé
Mais la fiction est préférée à toute réalité !
Toute réalité est toujours déformée ou bafouée
Nous en connaissons une infime particularité
Sous les lazzis, tout le monde, ridiculisé
Et bien plus encore de toute prétendue célébrité
Ou de l'interprétation de toute historicité
Morphing à la " Fantomas ", celui, qui
Pour son original, faisait peur, causait terreur
En 1912/1913, le cinéma muet pouvait faire peur
Puis, il devint une sorte de personnage comique
En d'autres années, bien plus tard, avec un faux tragique
Comme des spectres polliniques
Médecine légale et morphocriminologique
Analyse des pollens, comme ADN, traces de sang
Tout pouvant se transformer en de l'identifiant
1406, Cité interdite, du cèdre blanc, datant
Avec Pékin et ses 222 tremblements de terre
55 siècles, dont moururent, fils et pères
Tout le près est loin
Tout le loin est près
Durant toujours plus longtemps, tromperie de toute faconde
Que les sept minutes et trente secondes
Du rapport sexuel moyen aux USA
Pourtant, partout, l'on en fait tout un plat
Il y a 1000 ans, la France, était divisée en duchés
Chaque duché avec son propre parlé
Le séparé est séparé dans son propre séparé
Voltaire le déiste, avec son platisme, à l'église, attribué
Se trompant, de sa propre pensée séparée
Et donc, pour une fois, l'Eglise catholique, injustement accusée
TOUT est de l'engramme formel ou subliminal
En TOUT, nos ignorances, font de tout, une arme fatale !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/)
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Patrice Faubert.
Publié sur e-Stories.org sur 11.09.2024.