en français, on dit : je n'ai plus besoin de toi.
mais en poésie, on dit : il y a un espace en moi qui restera toujours vide,
peu importe combien d'autres personnes y prennent place, ton absence est un écho qui ne s'éteint jamais.
en français, on dit : j'ai tourné la page.
mais en poésie, on dit : je porte les cicatrices de ton départ en moi,
comme des blessures profondes qui ne guérissent jamais complètement, toujours douloureuses, mais jamais disparues.
en français, on dit : ça va.
mais en poésie, on dit : je porte un sourire qui pèse plus lourd que toutes les larmes
que j'ai jamais versées, et dans mes yeux brûle l'image de ce que nous avons perdu.
en français, on dit : tu me manques.
mais en poésie, on dit : il y a un vide en moi, un espace qui ne sera jamais comblé,
un lieu qui désire ta proximité et où ton absence plane comme une ombre.
en français, on dit : je suis là pour toi.
mais en poésie, on dit : je suis la main qui te cherche,
même si tu n'es plus là, l'espoir silencieux que tu chercheras peut-être un jour ce même contact, même si tu es déjà parti.
en français, on dit : tu auras toujours une place dans mon cœur.
mais en poésie, on dit : j'ai construit un foyer pour toi dans mon âme,
et même si le temps passe et que le monde change, ton souvenir y résidera, intact et éternel.
en français, on dit : je ne t'oublierai jamais.
mais en poésie, on dit : tu es gravé dans mon cœur,
un nom qui ne s'efface jamais, même quand j'essaie de t'effacer de ma vie, tu restes une partie de moi, qui sera toujours là.
en français, on dit : au revoir.
mais en poésie, on dit : au revoir n'est pas juste un mot,
c'est le son d'une promesse brisée, une fissure dans mon âme qui résonne encore, même lorsque tu es déjà loin.
en français, on dit : c'est fini.
mais en poésie, on dit : la fin de nous est un murmure dans le vent, un au revoir silencieux qui s'enracine
comme une tempête dans mon cœur et qui ne s'envole jamais complètement.
en français, on dit : je t'aime plus.
mais en poésie, on dit : l'amour ne s'efface pas comme une lumière, il reste en moi,
un lien invisible qui se tisse dans mes veines, qui ne disparaît jamais, peu importe les années qui passent.
en français, on dit : désolé.
mais en poésie, on dit : mes excuses sont comme des larmes qui tombent dans l'océan du temps,
elles n'atteignent jamais la destination que tu leur avais donnée, et pourtant, ce sont les mots les plus lourds que j'aie jamais dits.
en français, on dit : tu me manques.
mais en poésie, on dit : il y a un vide en moi qui ne sera jamais rempli,
un écho de toi qui résonne sans cesse dans mes pensées, un espace où tu ne seras jamais à nouveau.
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Ditar Kalaja.
Publié sur e-Stories.org sur 03.01.2025.
halbwertzeit der liebe
von Ditar Kalaja
In meinen Gedichten, schreibe ich mir meine eigene Realität, meine Träume auch wenn sie oft surreal, meistens abstakt wirken. Schreiben bedingt auch meine Sprache, meine Denkmechanismen mein Gefühl für das Jetzt der Zeit.
Ich vernehme mich selbst, ich höre tief in mich rein, bin bei mir, hier und jetzt. Die Sprache ist dabei meine Helfershelferin und Komplizin, wenn es darum geht, mir die Wirklichkeit vom Leib zu halten. Wenn ich mein erzähltes Ich beschreibe, beeinflusse, beschneide, möchte ich begreifen, wissen, welche Ursachen Einflüsse bestimmte Dinge und Menschen auf mein Inneres auf meine Handlung nehmen, wie sie sich integrieren bzw. verworfen werden um mich dennoch im Gleichgewicht halten können.
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