Ces longs cheveux blonds flottant au vent
Tel le langoureux balancement des feuilles,
Surprisent par un vent d'automne.
Ce doux front d'enfant
Brillant comme le seuil;
D'un couvent de nones.
Visage je t'ai vu
Visage jamais je ne t'oublierais
L'innocent balancement des paupières.
Telles les pétales d'une fleur se fermant pour dormir,
Surprisent par un furtif rayon de soleil.
Yeux suivant ces formes princières,
Crées pour unir;
La simplicité, la candeur, a l'image de l'oeil.
Visage je te vois
Visage jamais je ne t'oublierais
Nez tu es fée,
Puisque suivant la lignée de la beauté.
Grace légèrté;
Et la bouche, par le fait de se promouvoir,
Lèvres vous ne pouvez que fasciner
Visage tu vis
Visage jamais je ne t'oublierais
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Jacques Bechdolff.
Publié sur e-Stories.org sur 18.01.2009.
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