C'est la tristesse de notre invulnerable jours
des cafés, des rues connues
qui m'emmène trop loin
pour voir cotés où fenêtres
d'autres âmes que la mienne
le ciel un miroir
pour mes pensées
penchée sur mes secondes
dans quel je ne jamais cherchais plus
pour un signe
de change...
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Nora B. Hagen.
Publié sur e-Stories.org sur 10.05.2005.
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