Ils ne sont pas tangibles, ne sont pas souvent pris
Pour cette raison, ils restent pour moi seulement des visages
Ou dans le sombre ou clair
Si le jour est ou la nuit
S'ils portent l'affliction ou nous sourient
Si très
Pourtant, plutôt dans une caméra.
Il est celui-là que nous admirons tôt et tard
Et avec cela parfois oublient nous-mêmes.
Cela te rend fatigué, te rend joyeux
S'ils regardent strictement ou brutalement,
Si des jeunes hommes les vieux hommes deviennent
Ou alors - encore pire - ceux-là meurent
Nous avons en vue aimer.
Je ne donne pas si sans raison mon amour
La personne que j'aime doit être déjà tangible
Si le compagnon à moi et le plus cher est pour autant que possible
Tous les jours de ma vie.
Grossièrement de manière dite : ”Comme la vie est brièvement.”
Pour cette raison, je traite avec économie mes sentiments
Ne dis pas non plus à quelqu'un : “Je t'aime!”
Je ne peux pas saisir.
Non, tu me comprends certainement faussement :
Dans l'esprit de : “Ceux-là qui semblent souvent irréels
Si tu peux appeler à peine des amis ou plus chers.”
J'attrape à moi volontiers la pomme ou aussi la poire
Ne saisis cependant jamais du plaisir les étoiles qui ne sont pas au ciel.
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Meike Schrut.
Publié sur e-Stories.org sur 17.01.2010.
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