(En 1990 en mars.) A coutume toi pour avoir plus de temps pour moi
sur que l'absurde une fin a
trouble des idées aucune chance n'ont
A coutume toi pour savoir un autre rire
sur qu'un sourire la grimace ne devient plus
veut me mettre dans tes bras étalés
comme cet enfant à l'innocence de qui je l'envie.
A coutume toi pour être nouveau pouvoir beaucoup plus que moi possible - autrement.
Que dans des mots ne pas dire
seulement est à tâter.
A coutume ton fait de croire capable, ta compréhension basse,
veut non seulement empaqueter tes mains savent,
dans eux le nouveau voudrait aussi naître pour moi.
A coutume toi - tout à fait simplement - pour aimer aussi moi-même plus,
sur que je ne gaspille pas une fois ma vie...
Presque j'oubliais : chaque nature a besoin de ce temps de l'amour!
J'ai appris des sanglots et ai honte presque de mes larmes.
Où pour moi aucun mot n'est, mes idées de la nostalgie expirent.
Où pour moi aucune tendresse n'est, mon corps à toi ne peut pas chauffer.
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Meike Schrut.
Publié sur e-Stories.org sur 05.03.2010.
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