Voici venu le temps de la grande fête
Et moi qui suis triste à perdre la tête
Perdant toute envie ainsi que tout désir
Pour moi, je vois le temps qui s’arrête
Tournant en rond blessé comme une bête
Subissant les instants comme un vrai martyr
Je suis accablé et mon esprit s’entête
Tout en moi se casse, s’envole en miettes
Je ne peux connaitre de mal aussi pire
Toute pensée qui vient à moi m’inquiète
Mon âme agonise et mon cerveau pète
Et mon seul rêve est de toujours fuir
Je veux fuir le mal et les gens malhonnêtes
En amour, je n’ai laissé aucune dette
Ceux qui m’ont aimé peuvent vous le dire
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Said Chourar.
Publié sur e-Stories.org sur 21.05.2011.
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