A la luz del candil respiro vertiginosos cipreses.
Yo huía de La Vida como de La Muerte.
La Tierra promete tanto como Un Hombre.
Desde un torrente de la vida (muerte)
me hacía creerme lo que no era (soy).
Sueños de aviador cuando de niño los tuve
pero las moradas azules nunca se desprenden...
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Vicente Gómez Quiles.
Publié sur e-Stories.org sur 02.07.2011.
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