Rien ne vaut cette belle femme si douce
A elle, le vent d’un fol amour m’y pousse
Gardienne des trésors que j’ai affectionnés
Hélas! C’est pour moi seul qu’elle est née
Dois-je vous avouer mon amour pour elle
Aussi, elle est plus chère que mes prunelles
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Said Chourar.
Publié sur e-Stories.org sur 12.08.2012.
Contribution antérieure Prochain article
Plus dans cette catégorie "Amour et Romantisme" (Poèmes en français)
Other works from Said Chourar
Cet article t'a plu ? Alors regarde aussi les suivants :