Le ciel se revêt de son manteau pourpre
Terni par la nacre qui renvoi la pulpeuse ode
Découverte par le caprice de l’errance
Et soustrait le souci de ne pas saisir le code
Retirer le doute dans la surprise qui tonne
Confère au silence de bruire de notre seul intérieur
Dans un arc qui prodigue des trésors indignes
D’un parcours fait d’offenses légendaires
Taire le moment, c’est feindre l’immobile
La suspension de tous ce qui agite, bouleverse
Notre esprit pour des chaussées ingrates
Récolter la chute en nous comme un vent
Une caresse, un ébat terminant la dernière bride
Des as d’un ingénu que l’infortune a mené souvent.
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Nadège Ango-Obiang.
Publié sur e-Stories.org sur 31.10.2013.
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