Rolph David

Un Delire D’Amour

J’étais le feu qui a brûlé seulement pour toi –
mais tu l’as étouffé!
J’étais la larme dans tes yeux –
mais tu l’as effacé indifféremment.
Tu m’as privé du suc de ma vie comme un puceron retire la beauté d’une fleure.
Je ne peux plus revenir en arrière –
je devenais ton esclave, abattu complètement!
Ma tête règne sur mes pensées, et ma langue est l’esclave de mes idées abstruses.
J’étais la vague qui s’est précipitée vers toi pour t’accueillir – mais tu l’as rompue!

Tiens-toi-le pour dit :
« Aucune marée ne peut emporter mon affection pour toi,

aucun vent du monde ne peut la souffler,
aucun feu ne peut la brûler, et
pas même le temps ne peut l’user! »
Un beau jour, je ferai fondre la glace qui t’entoure et avec cela
je provoquerai un raz de marrée d’attraction mutuelle!

Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Rolph David.
Publié sur e-Stories.org sur 13.02.2024.

 
 

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