J'ouvre la porte, te laisse sortir
à l'air, au soleil, à la liberté.
Je te laisse faire ce que tu désires,
je n'ai pas le droit de t’enfermer.
Mes yeux te suivent, je vois ton plaisir,
comme tu t'éloignes pleine de fierté,
comme tu sautes, gambades, t’étires,
et comme toujours j’admire ta beauté.
Ainsi tu peux de ta vie pleinement jouir,
tu peux te promener, chasser à ton gré
jusqu’à ce que tu aies envie de revenir
et en ronronnant cherches à être caressée.
Et moi, plein de joie avec un joyeux rire,
je t’ouvre la porte et te laisse rentrer.
Ma jolie chatte, ton absence me fait languir,
je nécessite ton affection, ta tendresse affamée.
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Fred Schmidt.
Publié sur e-Stories.org sur 11.04.2018.
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