En sentant les fines lignes de mon cœur, palpiter d’amour
Avec profès déisme comme on professe à Dieu.
… E je me perds dans mes rêves candides emplissant tout mon temps
Modelant des rires dans le ciel, toujours attachée à tes souvenirs
Faisant surgir en moi des sentiments inquiets.
J’ai commencé à t’aimer ainsi, avec les sacras heures où je t’adorais en silence
Et continuant de faire couler des lueurs qui couvrent mes vers et avant que de t’avoir dans mes bras, tes baisers
Se réveillèrent dans mes lèvres cherchant à être la raison
Du soleil limpide qui verse ses ors dans mon cœur.
J’ai commencé à t’aimer ainsi, sans t’avoir vu, comme une aura visionnaire de fée
Te voyant dans mes rêves chaque matin, avec la clarté
De la brise soufflant à ma fenêtre.
J’ai commencé à t’aimer ainsi, avec la blancheur subtile apparaissant sur mon front,
Avec le petit matin sur mes lèvres gisant doucement
Comme si j’avais sculpté ton image dans mon esprit pour t’aimer toujours avec la muse religieuse d’un cœur d’adolescente.
J’ai commencé à t’aimer ainsi…
Noris Roberts
Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Noris Roberts.
Publié sur e-Stories.org sur 02.08.2008.
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